Petite librairie qui a la base ne paie pas de mine mais c’est un véritable écrin de richesse littéraire ! Un monsieur très gentil et touchant Financé les petits libraire svp !

Je ne me remets pas de ma dernière visite à la presse d’Hardelot. J’achète une carte pour les 95 ans de mon beau-père et je demande une enveloppe. Le commerçant me dit, goguenard, qu’une enveloppe mortuaire fera l’affaire Vous avez perdu une cliente. Déjà que je n’aimais plus y aller vu l’immensité du désordre qui y règne et l’accueil déplorable. Votre humour noir, si cela en était, dépasse les bornes. Une cliente depuis 40 ans et un monsieur de 95 ans fidèle de la librairie depuis sa création

Une expérience… mémorable. On entre dans une librairie au parcours étroit et labyrinthique qui pourrait presque avoir du charme si l’accueil n’était pas si… vigoureux. Mon père de 85 ans a eu droit à un tonitruant « pas de journaux le lundi » qui avait tout de la réplique de film dramatique — on s’attendait presque à des applaudissements à la fin. Quant aux clients qui, sacrilège, venaient uniquement chercher des timbres… ils ont été punis par la suppression pure et simple de ce service. Dommage : il paraît qu’une petite vente peut parfois en entraîner une plus grande, mais ici on préfère tester des théories commerciales originales. Bref, une librairie qu’on n’oublie pas, mais peut-être pas pour les raisons espérées.

Mon Dieu que j’aime cet endroit. Simple presse quand j’étais enfant, c’est aujourd’hui une véritable librairie avec des livres du sol au plafond et surtout de vrais libraires agréables et de bons conseils ! Il y a du choix et si vous cherchez quelque chose en particulier, faites leur confiance, ils savent exactement où chercher. Si vous ne faites que fureter, vous trouverez toujours une petite pépite à ramener chez vous. C’est un passage obligé dès que je suis à Hardelot.

À vouloir trop faire cela nuit... La volonté de proposer une variété de choix empêche une libre circulation dans le magasin rendant impossible l'arrêt pour consulter les différentes références. De plus à vouloir proposer trop de référence le client est perdu dans une organisation peu lisible. Et cela n'est sans compté sur les remarques désagréable de la part de la gérante à qui il serait bon de rappeler les notions de services clients et de relationnelle. La librairie n'ayant pas de concurrent elle peut se permettre ce désordre organisé et de ne pas faire attention à ces clients qui sont pourtant là pour passer leurs vacances/ weekends.